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ConnexionEquipe oméga : Khort, Tylenn, Marie et Clara - Mission Paradis Perdu - rapports de missions
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Equipe oméga : Khort, Tylenn, Marie et Clara - Mission Paradis Perdu - rapports de missions
par Alistair Dim 7 Déc - 10:52
*Entendant qu'on frappait à la porte de son bureau, l'instructeure Romanov, une blonde sculpturale aux atouts indéniables, ordonna aux nouveaux arrivant d'entrer au plus vite et de fermer la porte derrière eux. Elle savait avec qui elle avait rendez-vous, l'équipe Oméga. Une équipe aussi hétéroclite de par leurs vocations que par leurs origines.
L'équipe était en effet composée d'un soldat russe, Khort von Trear, une brute russe adepte du corps à corps mais qui était toujours près à prendre des coups pour sauver son équipe, Tylenn, une inquisitrice, presque aussi douée pour les combats que pour les enquêtes, Marie, une écrivaine française charmante et délicate capable de faire apparaître un chaton géant trop mignon et capable de vous arracher la tête en deux coups de griffe, et pour finir, Clara Oswald, une jeune anglaise adepte de l'espionnage et des délits en tout genres.
L'équipe avait provoqué moult catastrophes, détruit nombre d'équipements de l'organisation et laissé échappé un suspect important mais ils avaient réussi et démasqué un Papercut autonome infiltré dans les rangs de l'organisation. Ils étaient … prometteurs.
Romanov releva la tête de ses papiers et regarda l'équipe. *
« Bien, qu'avez-vous pour moi ? «
L'équipe était en effet composée d'un soldat russe, Khort von Trear, une brute russe adepte du corps à corps mais qui était toujours près à prendre des coups pour sauver son équipe, Tylenn, une inquisitrice, presque aussi douée pour les combats que pour les enquêtes, Marie, une écrivaine française charmante et délicate capable de faire apparaître un chaton géant trop mignon et capable de vous arracher la tête en deux coups de griffe, et pour finir, Clara Oswald, une jeune anglaise adepte de l'espionnage et des délits en tout genres.
L'équipe avait provoqué moult catastrophes, détruit nombre d'équipements de l'organisation et laissé échappé un suspect important mais ils avaient réussi et démasqué un Papercut autonome infiltré dans les rangs de l'organisation. Ils étaient … prometteurs.
Romanov releva la tête de ses papiers et regarda l'équipe. *
« Bien, qu'avez-vous pour moi ? «
Dernière édition par Alistair le Ven 12 Déc - 11:37, édité 1 fois
Alistair- Modérateur/MJ Steampunk
- Messages : 157
Date d'inscription : 30/05/2014
Localisation : Rennes
Rapport de Clara Oswald
par Alchimery Mer 10 Déc - 22:17
Clara Oswald, jeune espionne fraîchement recrutée, couturière londonienne de couverture et toujours frileuse. Cheveux brun et roux sur lesquels sont posées des lunettes rondes qui ne lui sont pas utiles ; petite de taille, sa tenue est simplement composée d'un haut gris, un serre-taille marron clair, une jupe en taffetas couleur marron glacé, un collant gris et des bottines brunes. Ses alliés les plus précieux : son couteau-papillon et son passe-partout.
« Clara Oswald, espionne de l'équipe Oméga, au rapport pour Nostromo --
Nous lancer dans une mission aussi importante alors que l'équipe venait tout juste d'être formée n'était, à mon goût, pas la plus brillante des idées. La première approche n'a pas été des plus chaleureuses, on nous a nommés équipe Oméga sans que nous ne nous connaissions, il n'y avait aucune confiance entre les coéquipiers alors... Pas facile pour tâter du terrain.
Heureusement l'équipe était assez équilibrée, chacun avait des compétences qui complétaient celles des autres, nous avons pu avancer dans la mission facilement. Enfin disons surtout que ce ne sont pas nos compétences qui nous ont ralentis... Savoir que l'on avait besoin des autres nous a soudés.
Bon, on a eu quelques frayeurs, surtout sur le pistage de Tylenn l'inquisitrice... Mais je pense que ce n'était pas sa journée, elle devait couver un petit virus passager... En tout cas elle a été très utile tout au long de la mission.
Khort était un peu brutas, mais heureusement qu'il était là pour les combats et après, ses compétences de médecine nous ont bien sauvés !
L'élément principal de notre groupe était Marie, notre écrivaine française. Reinette, son PaperCut était très puissant, indispensable en combat !
A la fin de la mission, nous pouvions le dire : nous sommes une équipe, on reste ensemble ! »
« Clara Oswald, espionne de l'équipe Oméga, au rapport pour Nostromo --
Nous lancer dans une mission aussi importante alors que l'équipe venait tout juste d'être formée n'était, à mon goût, pas la plus brillante des idées. La première approche n'a pas été des plus chaleureuses, on nous a nommés équipe Oméga sans que nous ne nous connaissions, il n'y avait aucune confiance entre les coéquipiers alors... Pas facile pour tâter du terrain.
Heureusement l'équipe était assez équilibrée, chacun avait des compétences qui complétaient celles des autres, nous avons pu avancer dans la mission facilement. Enfin disons surtout que ce ne sont pas nos compétences qui nous ont ralentis... Savoir que l'on avait besoin des autres nous a soudés.
Bon, on a eu quelques frayeurs, surtout sur le pistage de Tylenn l'inquisitrice... Mais je pense que ce n'était pas sa journée, elle devait couver un petit virus passager... En tout cas elle a été très utile tout au long de la mission.
Khort était un peu brutas, mais heureusement qu'il était là pour les combats et après, ses compétences de médecine nous ont bien sauvés !
L'élément principal de notre groupe était Marie, notre écrivaine française. Reinette, son PaperCut était très puissant, indispensable en combat !
A la fin de la mission, nous pouvions le dire : nous sommes une équipe, on reste ensemble ! »
Alchimery- Messages : 1
Date d'inscription : 07/12/2014
Age : 29
Localisation : Angers -
Re: Equipe oméga : Khort, Tylenn, Marie et Clara - Mission Paradis Perdu - rapports de missions
par Khort Von Trear Mer 10 Déc - 22:36
"Nouvelle ville, nouveau pays, nouvelle vie. Mère patrie la Russie me manque déjà. Mais bon... Il ne faisait plus bon y vivre. La terre de la Reine, là, ça en est même confortable, il y fait même douillet. Enfin bon, nouvelle vie, nouvelles missions, et v'là que je me retrouve avec des scribouillards.
Notre chef, Philip Morris, nous a envoyé chercher un antiquaire, et après avoir utilisé une... "voiture", les v'là qui se demandent si faut passer par la droite ou la gauche. Et personne qui m'écoute. Plutôt qu'd'attendre le gel d'hiver, 'l'en fallait pas deux comme moi pour réussir la mission. Et d'un coup d'tatane dans la porte, un bon "PHILIP MORRIS, TU T'CACHES OU ?!", et le v'là qui panique sec.
Bon, l'antiquaire, là, Morris machin, il avait les jambes rapides pour son âge. Entre l'espionne et son cure-dent (qu'est-ce qu'elle foutait à l'arrière, elle y est allée quand ? C'tait une bonne idée, mais j'lui aurais mieux filé mon tromblon, pour qu'elle l'arrête), ou l'enquêtrice des chiens perdus, j'étais servi. Bon, sans doute qu'entrer comme ça avait pas été des plus subtils. Mais pour peux qu'il se serait tiré avant qu'on pousse la porte, Philip Morris.
C'pas grave, à le faire décaniller comme ça, on a trouvé un bon paquet d'bouquins. Ca a du faire pleurer la scribouillarde, mais on les a foutus au feu. Tous, sans exception... Sauf un, je crois. Mais bon, la lecture, bof, c'est plus d'emmerdes que de bonnes augures.
D'fil en aiguille, on a trouvé un bouquin, écrit par Philip Morris, un bourgeois du coin. Enfin, qui était bourgeois. Du coup, en l'absence de monsieur, mort, ou je n'sais plus quel prétexte, c'est son majordome, Philip Morris, qui nous a ouvert. Obligé de faire des courbettes pour un bouquin sur le paradis et les gnagnan, quand même.
De Philip en Morris, on l'a retrouvé, le majordome. Tabassé par quatre gonz' et un colosse. Si les quat' clodos nous ont pas posé problème, faut remercier le ch... Nan, décidément, ça sera jamais un chat. C'était sens d'sus d'sous, ça faisait un mètre et demi, et ça t'regardait avec des yeux qu'il aurait pas bouffé depuis trois semaines. Mais bon, il était utile, voire que j'ai évité des sales coups grâce à ça.
Grâce aux deux p'tits rats de laboratoire aussi, faut croire, elles ont bien encaissé. J'aurais bien aimé les rafistoler, mais quand j'avais vu la taille du colosse, j'pouvais pas laisser la bestiole récolter toute la gloire.
Ca en aurait presque été un succès si on avait trouvé le livre. Enfin, on l'a trouvé, mais il a fallu en plus marraver la gueule à une aut' bestiole de papercut du majordome, le chevalier à sa princesse. Faut r'mercier l'inquitrisitice, qu'a surgi genre ninja, pour défoncer le vieux et déchirer le papier... Ca nous a bien rendu service quand même, il était coriace, le corgniaud. Pis c'est pas trouver le livre qui nous a sorti des emmerdes après ça.
Y parlait d'un aut' papercut, comme si y en avait pas assez, genre autonome et tout, il avait une conscience et des trucs de vrais gens, woah ! Pis ça allait, c'était "beau gosse musclé et imposant". Au début, j'ai cru qu'ils allaient croire que j'en étais un, mais c'est vrai que ça correspondait davantage à Philip Morris.
On a tenté de faire not' show et tout, on était tous prêts à le menacer et à le défoncer et tout, mais bon, on s'est dit que se battre avec le chef, ça pouvait déjà nous attirer des emmerdes, et pis si on perdait, on aurait eu l'air con. Du coup, on a suivi des idées de l'espionne qu'valait mieux pas aller taper tout ce qui bougeait, 'pis par sécurité (Prudence ? Peur..?), on a brûlé l'bouquin.
Une fois qu'on a zyeuté le bureau, j'ai pas trop compris... Entre l'espionne qu'a trouvé un papier et l'écrivaine qui l'a lu, de c'que j'ai compris, Philip Morris était un papercut, ouais, et il voulait qu'on le découvre et qu'on le tue, en fait, qu'il en avait trop vu et avait eu une vie trop remplie, un truc du genre.
Des appartements défouraillés, des cadavres en exposition et une voiture en pièces plus tard, on avait quand même fait du bon boulot... Non ?"
Notre chef, Philip Morris, nous a envoyé chercher un antiquaire, et après avoir utilisé une... "voiture", les v'là qui se demandent si faut passer par la droite ou la gauche. Et personne qui m'écoute. Plutôt qu'd'attendre le gel d'hiver, 'l'en fallait pas deux comme moi pour réussir la mission. Et d'un coup d'tatane dans la porte, un bon "PHILIP MORRIS, TU T'CACHES OU ?!", et le v'là qui panique sec.
Bon, l'antiquaire, là, Morris machin, il avait les jambes rapides pour son âge. Entre l'espionne et son cure-dent (qu'est-ce qu'elle foutait à l'arrière, elle y est allée quand ? C'tait une bonne idée, mais j'lui aurais mieux filé mon tromblon, pour qu'elle l'arrête), ou l'enquêtrice des chiens perdus, j'étais servi. Bon, sans doute qu'entrer comme ça avait pas été des plus subtils. Mais pour peux qu'il se serait tiré avant qu'on pousse la porte, Philip Morris.
C'pas grave, à le faire décaniller comme ça, on a trouvé un bon paquet d'bouquins. Ca a du faire pleurer la scribouillarde, mais on les a foutus au feu. Tous, sans exception... Sauf un, je crois. Mais bon, la lecture, bof, c'est plus d'emmerdes que de bonnes augures.
D'fil en aiguille, on a trouvé un bouquin, écrit par Philip Morris, un bourgeois du coin. Enfin, qui était bourgeois. Du coup, en l'absence de monsieur, mort, ou je n'sais plus quel prétexte, c'est son majordome, Philip Morris, qui nous a ouvert. Obligé de faire des courbettes pour un bouquin sur le paradis et les gnagnan, quand même.
De Philip en Morris, on l'a retrouvé, le majordome. Tabassé par quatre gonz' et un colosse. Si les quat' clodos nous ont pas posé problème, faut remercier le ch... Nan, décidément, ça sera jamais un chat. C'était sens d'sus d'sous, ça faisait un mètre et demi, et ça t'regardait avec des yeux qu'il aurait pas bouffé depuis trois semaines. Mais bon, il était utile, voire que j'ai évité des sales coups grâce à ça.
Grâce aux deux p'tits rats de laboratoire aussi, faut croire, elles ont bien encaissé. J'aurais bien aimé les rafistoler, mais quand j'avais vu la taille du colosse, j'pouvais pas laisser la bestiole récolter toute la gloire.
Ca en aurait presque été un succès si on avait trouvé le livre. Enfin, on l'a trouvé, mais il a fallu en plus marraver la gueule à une aut' bestiole de papercut du majordome, le chevalier à sa princesse. Faut r'mercier l'inquitrisitice, qu'a surgi genre ninja, pour défoncer le vieux et déchirer le papier... Ca nous a bien rendu service quand même, il était coriace, le corgniaud. Pis c'est pas trouver le livre qui nous a sorti des emmerdes après ça.
Y parlait d'un aut' papercut, comme si y en avait pas assez, genre autonome et tout, il avait une conscience et des trucs de vrais gens, woah ! Pis ça allait, c'était "beau gosse musclé et imposant". Au début, j'ai cru qu'ils allaient croire que j'en étais un, mais c'est vrai que ça correspondait davantage à Philip Morris.
On a tenté de faire not' show et tout, on était tous prêts à le menacer et à le défoncer et tout, mais bon, on s'est dit que se battre avec le chef, ça pouvait déjà nous attirer des emmerdes, et pis si on perdait, on aurait eu l'air con. Du coup, on a suivi des idées de l'espionne qu'valait mieux pas aller taper tout ce qui bougeait, 'pis par sécurité (Prudence ? Peur..?), on a brûlé l'bouquin.
Une fois qu'on a zyeuté le bureau, j'ai pas trop compris... Entre l'espionne qu'a trouvé un papier et l'écrivaine qui l'a lu, de c'que j'ai compris, Philip Morris était un papercut, ouais, et il voulait qu'on le découvre et qu'on le tue, en fait, qu'il en avait trop vu et avait eu une vie trop remplie, un truc du genre.
Des appartements défouraillés, des cadavres en exposition et une voiture en pièces plus tard, on avait quand même fait du bon boulot... Non ?"
Khort Von Trear- Messages : 1
Date d'inscription : 10/12/2014
Re: Equipe oméga : Khort, Tylenn, Marie et Clara - Mission Paradis Perdu - rapports de missions
par Tylenn Jeu 11 Déc - 13:34
Ici Tylenn, inquisitrice de niveau...2 !!!
Je suis très heureuse d'avoir quitté mon poste de cuisinière et d'avoir accepté ce poste d'inquisitrice pour Nostromo.
Je vous avouerais qu'au début, je me suis vraiment demandée où j'avais atterri... Après quelques jours de formation, j'ai rencontré ma nouvelle équipe, Oméga, composée d'une écrivaine, Marie, d'une espionne, Clara et...d'un soldat (un peu ?) bourrin, Khort. Aux caractères très différents et tous un peu gauches, je ne pensais pas qu'on arriverait au bout de notre mission...
Déjà, dès le début, le chef nous a testé et a surtout voulu voir si nous arrivions à combiner nos forces et à réfléchir avant de taper...n'est-ce pas Khort ?! C'est là que nous avons découvert le réel pouvoir des papercuts et des écrivains. Marie a fait apparaître Reinette, un chaton géant trop mignon mais qu'on peut même pas caresser car sa peau est vénimeuse... Un nouvel équipier de taille ! Nous avons aussi découvert le point faible des papercuts. Nés d'un papier, il suffit de détruire les papier pour les tuer. Enfin prêts, le chef a pu nous donner notre première mission.
Il fallait que l'on retrouve un livre: Le paradis perdu, de John Milton (? j'ai vraiment du mal avec les noms...). Quoi, un livre ? Mais c'est interdit ça ! Comment procéder... Aller voir l'antiquaire ? C'est parti. Heureusement que Marie sait conduire (enfin, a appris à conduire...). Trop de questions dans nos têtes en arrivant. On fait quoi ? On passe par où ? On se sépare ? Résultat, Khort, en manque de patience, entre en trombe dans la boutique par l'avant, Clara passe par derrière et Marie et moi, réfléchissons toujours... A peine le temps de dire ouf, que l'antiquaire s'est enfuit ! Khort me lance alors, "Mais Tylenn, qu'est-ce que tu fous ? Piste le !" Euh...oui c'est vrai, c'est mon boulot ^^' C'est parti, premier pistage (mais ça, faut pas le dire...). On se dépêche pour ne pas le perdre, et là...et ben on tombe sur...un chien... Il semblerait que j'aie quelques progrès à faire... Mais ne perdons pas espoir ! Nous avons tout de même trouvé deux autres bouquins chez l'antiquaire, dont un écrit par la résistance. Ayant perdu la piste de l'antiquaire, nous décidons d'aller à la mairie recueillir des informations sur nos deux écrivains. Là, nous tombons sur une secrétaire qui avait l'air...très....intelligente... Bref, une fois de plus nous décidons de nous séparer: Khort et Clara à la bibliothèque municipale, et Marie et moi au QG de Nostromo. Petit contre-temps, la voiture est...tombée en panne... Du coup, on "emprunte" un cheval et on y va, finalement à 4.
A Nostromo, on nous envoie au sous-sol, où l'on est accueilli par un jeune homme, qui ne semble pas très enclin à nous donner des infos tant que je ne lui ai pas donné mon nom et accepté un rdv (que j'ai un peu zappé par la suite...). Marie semblait plus attirée par lui que moi, et je lui aurait bien laissé... J'ai autre chose à faire que perdre mon temps à diner avec des hommes ! Bref, finalement on a eu une adresse, à laquelle on s'est rendu. Nous avons été accueillis par la femme de ménage, puis le fils de notre écrivain, décédé une semaine auparavant. Il nous parle du majordome et nous donne son adresse. En route ! Bon, je vais vous éviter trop de détails, sinon on va encore me dire que je parle trop... Là-bas, j'ai découvert mes capacités au combat ! Je suis juste trop forte !!!....pour me faire presque tuer ^^ Heureusement que Khort a appris quelques soins en Russie... Je lui doit ma vie. On a failli tous y passer. Sympa la première mission ! Bon, on a trouvé le bouquin c'est l'essentiel, et j'ai tué un papercut. J'aime déchirer du papier !!! On est retourné au QG et...on a tué le chef ^^ Bah oui, c'était un papercut lui aussi, et autonome en plus ! Sauf que c'était un gentil... mais on l'a su qu'après. Bon, il voulait mourir donc ouf ! En fait, il comptait sur notre manque de jugeote pour mourir. Génial, non ?!...
Bref, première mission, des morts, mais pas nous. L'équipe est lancée !!! Et du coup, nouveau chef, enfin nouvelle chef, une russe, Romanov (content Khort ?).
Nouvelle mission: on doit aller voir on ne sait qui à Whitechapel. On y va, sans réfléchir, comme d'habitude ! On croise des gens, on se bat, ou plutôt ils se battent. Perso j'abandonne, le combat c'est pas mon fort... On trouve notre homme, qui peu après se fait endormir très profondément par un gosse, que Khort prendra plaisir à attraper par le cou ! On cherche un entrepôt. C'est bien gentil, mais y en a partout !!! On appelle la chef. On est débile, on n'a pas retourné le papier ! Muni du plan, on y va, par un passage sous la tamise, avec un gros méchant crocodile. J'ai cru que c'était la fin d'Oméga...mais on a survécu, et pas grâce à moi... En fait, j'ai pas été très utile jusqu'ici... mais...je fais de mon mieux et c'est l'essentiel. Bientôt je serai la meilleure inquisitrice de Londres ! L'espoir fait vivre, dit-on ?! A la sortie du tunnel, une caisse dans l'entrepôt. Normal me direz-vous, oui mais une seule, pas plein comme d'habitude. Il faut l'ouvrir. On se fait attaquer une fois de plus. Les autres se battent, j'ouvre la caisse (enfin utile !!!). Dedans...plein de papier, avec un mot de la résistance. On fait quoi ? Il faudrait le brûler, mais Marie en garde un peu quand même (chut), toujours des pensées tournées vers la résistance. Après de nombreuses hésitations, quelques coups de fil à la chef, on brûle le reste et on rentre. Deuxième mission accomplie !!!
Hâte de recommencer, j'aime vraiment ce boulot, fort en émotions, montées d'adrénaline et amitiés. Oui quand même !
FIN DU RAPPORT ORAL
Je suis très heureuse d'avoir quitté mon poste de cuisinière et d'avoir accepté ce poste d'inquisitrice pour Nostromo.
Je vous avouerais qu'au début, je me suis vraiment demandée où j'avais atterri... Après quelques jours de formation, j'ai rencontré ma nouvelle équipe, Oméga, composée d'une écrivaine, Marie, d'une espionne, Clara et...d'un soldat (un peu ?) bourrin, Khort. Aux caractères très différents et tous un peu gauches, je ne pensais pas qu'on arriverait au bout de notre mission...
Déjà, dès le début, le chef nous a testé et a surtout voulu voir si nous arrivions à combiner nos forces et à réfléchir avant de taper...n'est-ce pas Khort ?! C'est là que nous avons découvert le réel pouvoir des papercuts et des écrivains. Marie a fait apparaître Reinette, un chaton géant trop mignon mais qu'on peut même pas caresser car sa peau est vénimeuse... Un nouvel équipier de taille ! Nous avons aussi découvert le point faible des papercuts. Nés d'un papier, il suffit de détruire les papier pour les tuer. Enfin prêts, le chef a pu nous donner notre première mission.
Il fallait que l'on retrouve un livre: Le paradis perdu, de John Milton (? j'ai vraiment du mal avec les noms...). Quoi, un livre ? Mais c'est interdit ça ! Comment procéder... Aller voir l'antiquaire ? C'est parti. Heureusement que Marie sait conduire (enfin, a appris à conduire...). Trop de questions dans nos têtes en arrivant. On fait quoi ? On passe par où ? On se sépare ? Résultat, Khort, en manque de patience, entre en trombe dans la boutique par l'avant, Clara passe par derrière et Marie et moi, réfléchissons toujours... A peine le temps de dire ouf, que l'antiquaire s'est enfuit ! Khort me lance alors, "Mais Tylenn, qu'est-ce que tu fous ? Piste le !" Euh...oui c'est vrai, c'est mon boulot ^^' C'est parti, premier pistage (mais ça, faut pas le dire...). On se dépêche pour ne pas le perdre, et là...et ben on tombe sur...un chien... Il semblerait que j'aie quelques progrès à faire... Mais ne perdons pas espoir ! Nous avons tout de même trouvé deux autres bouquins chez l'antiquaire, dont un écrit par la résistance. Ayant perdu la piste de l'antiquaire, nous décidons d'aller à la mairie recueillir des informations sur nos deux écrivains. Là, nous tombons sur une secrétaire qui avait l'air...très....intelligente... Bref, une fois de plus nous décidons de nous séparer: Khort et Clara à la bibliothèque municipale, et Marie et moi au QG de Nostromo. Petit contre-temps, la voiture est...tombée en panne... Du coup, on "emprunte" un cheval et on y va, finalement à 4.
A Nostromo, on nous envoie au sous-sol, où l'on est accueilli par un jeune homme, qui ne semble pas très enclin à nous donner des infos tant que je ne lui ai pas donné mon nom et accepté un rdv (que j'ai un peu zappé par la suite...). Marie semblait plus attirée par lui que moi, et je lui aurait bien laissé... J'ai autre chose à faire que perdre mon temps à diner avec des hommes ! Bref, finalement on a eu une adresse, à laquelle on s'est rendu. Nous avons été accueillis par la femme de ménage, puis le fils de notre écrivain, décédé une semaine auparavant. Il nous parle du majordome et nous donne son adresse. En route ! Bon, je vais vous éviter trop de détails, sinon on va encore me dire que je parle trop... Là-bas, j'ai découvert mes capacités au combat ! Je suis juste trop forte !!!....pour me faire presque tuer ^^ Heureusement que Khort a appris quelques soins en Russie... Je lui doit ma vie. On a failli tous y passer. Sympa la première mission ! Bon, on a trouvé le bouquin c'est l'essentiel, et j'ai tué un papercut. J'aime déchirer du papier !!! On est retourné au QG et...on a tué le chef ^^ Bah oui, c'était un papercut lui aussi, et autonome en plus ! Sauf que c'était un gentil... mais on l'a su qu'après. Bon, il voulait mourir donc ouf ! En fait, il comptait sur notre manque de jugeote pour mourir. Génial, non ?!...
Bref, première mission, des morts, mais pas nous. L'équipe est lancée !!! Et du coup, nouveau chef, enfin nouvelle chef, une russe, Romanov (content Khort ?).
Nouvelle mission: on doit aller voir on ne sait qui à Whitechapel. On y va, sans réfléchir, comme d'habitude ! On croise des gens, on se bat, ou plutôt ils se battent. Perso j'abandonne, le combat c'est pas mon fort... On trouve notre homme, qui peu après se fait endormir très profondément par un gosse, que Khort prendra plaisir à attraper par le cou ! On cherche un entrepôt. C'est bien gentil, mais y en a partout !!! On appelle la chef. On est débile, on n'a pas retourné le papier ! Muni du plan, on y va, par un passage sous la tamise, avec un gros méchant crocodile. J'ai cru que c'était la fin d'Oméga...mais on a survécu, et pas grâce à moi... En fait, j'ai pas été très utile jusqu'ici... mais...je fais de mon mieux et c'est l'essentiel. Bientôt je serai la meilleure inquisitrice de Londres ! L'espoir fait vivre, dit-on ?! A la sortie du tunnel, une caisse dans l'entrepôt. Normal me direz-vous, oui mais une seule, pas plein comme d'habitude. Il faut l'ouvrir. On se fait attaquer une fois de plus. Les autres se battent, j'ouvre la caisse (enfin utile !!!). Dedans...plein de papier, avec un mot de la résistance. On fait quoi ? Il faudrait le brûler, mais Marie en garde un peu quand même (chut), toujours des pensées tournées vers la résistance. Après de nombreuses hésitations, quelques coups de fil à la chef, on brûle le reste et on rentre. Deuxième mission accomplie !!!
Hâte de recommencer, j'aime vraiment ce boulot, fort en émotions, montées d'adrénaline et amitiés. Oui quand même !
FIN DU RAPPORT ORAL
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